Sur le 47ᵉ Mur d’Épinal, des bulles s’assemblent et dessinent un crâne.Sous la bombe de peinture de Temponok, la vanité prend une forme douce, presque lumineuse.Entre transparence et disparition, l’artiste nous parle de ce souffle de vie — fragile, éphémère — qui précède toujours l’éclat.
Crédit photographique: Martine de l'association Le Mur